BAS LES MASQUES au BAL des MASQUÉS

MASQUES OU PAS MASQUES ? Alors que la vérité est censée finir par montrer son vrai visage en ces temps de révélation, nous voici encore devant une mise en scène malicieuse truffée d’injonctions paradoxales, symptômes associés à tout mécanisme pervers…. Alors, observons…

Mais d’abord une petite réflexion sur cet objet symbolique, le masque a pour fonction de substituer au vrai visage d’un être, un objet qui va s’interposer entre lui et les autres pour des mobiles divers: Il peut servir à investir les attributs d’un autre personnage ou d’une force symbolique, à cacher ce que nous sommes, à se faire passer pour quelqu’un d’autre, à ne pas être reconnu, en bref à tromper, ou comme en ce moment, à se protéger… En bref, cette frontière factice est un objet magique qui interfère sur notre lien naturel avec les autres et avec notre environnement. 

Quoiqu’il en soit, étape après étape, les MASQUES TOMBENT, il apparait de plus en plus clair que ce « masque » demandé à corps et à cri par la population pour se protéger d’un ennemi invisible, a été volontairement confisqué par les autorités à la population pour instaurer la frayeur et accentuer ainsi l’éloignement des uns et des autres. Alors que les citoyens sidérés par l’apparente incohérence des acteurs de ce grand théâtre mondial, cherchent encore à se voiler la face en pensant être protégés du pire derrière des masques, nous observons que les masques de nos élites, tombent un à un, dévoilant leurs méfaits, leur trahison et leur déviance.

Du coup, ce virus, symbole de l’ennemi invisible n°1 de l’humanité apparait de plus en plus comme l’arbre qui cache la forêt, c'est-à-dire l’objet qui permet à l’illusionniste de détourner l’attention du public pour que sa supercherie ne soit pas vue… Quel est finalement le véritable ennemi invisible de l’Humanité qui tire les ficelles de toute cette machinerie et qui jusqu’à maintenant s’est toujours soustrait à notre perception ? Je vous invite à réfléchir… Mais attention tout système pervers ayant plus d’un tour dans son sac. Il ne faudrait pas, ironie du sort, que la situation se retourne faisant de ces masques enfin obtenus, le symbole du bâillon qui continue à nous séparer, bride l’expression et interdit de goûter la vie à pleine dent.


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