Au cours de notre cheminement intérieur, nous avons compris que ce qui
s’observe à l’extérieur de soi a son équivalent en nous même. Dans cette
perspective, l’Apocalypse, n’est pas juste la désagrégation de ce monde externe
déviant que nous avons maintenu en place de toutes nos forces tout en espérant
sa chute. En vérité, les mêmes forces de révélation œuvrent au dehors et dans
les tréfonds de notre être. Alors revenons dans notre oratoire et remettons
nous à l’ouvrage, jusqu’à ce que la clarté se fasse. Regardons dans le miroir magique le dedans et le
dehors, observons les 2 fronts de façon concomitante, l’un étant le reflet de l’autre,
manions l’analogie, pour aller démasquer ces scénarios parasites, incrustés
dans les recoins de nos Egos, ces fameux programmes bouclés qui se répètent
inlassablement, nous divisent, nous dévient, accaparent notre attention, notre
énergie, polluent, prolifèrent et mettent en danger de mort, la réalisation du
plan de notre être véritable.
Chaque être de quête aura déjà gouté ces instants de grâce ou l’égo apaisé relâchant son emprise, laisse notre Être lumineux partager ses fruits délicieux à la table des Dieux… N’est ce pas cette abondance naturelle que nous souhaitons pouvoir partager avec tous les êtres vivants de notre Terre ?
Chaque être de quête aura déjà gouté ces instants de grâce ou l’égo apaisé relâchant son emprise, laisse notre Être lumineux partager ses fruits délicieux à la table des Dieux… N’est ce pas cette abondance naturelle que nous souhaitons pouvoir partager avec tous les êtres vivants de notre Terre ?
La situation initiatique que l’Humanité toute entière est en train de
traverser, ressemble bien à une crise de croissance collective existentielle,
de la même nature que celle du fœtus qui ne peut éviter la naissance et ses
incontournables changements de conditions de vie, de l’enfant qui devient
adulte et responsable de sa présence au monde ou de la créature qui devient
créateur. Voilà l’incroyable défi du XXI siècle… L’HOMME de demain sera-t-il
COURONNÉ c'est-à-dire guidé par sa vérité profonde et souveraine ? Ou VIDÉ
de sa nature divine primordiale et réduit à l’état d’objet utilitaire ?
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